Le Heall
La Nouvelle Humanité, le clan des Brevelles.
Roman – chapitre 5
William, comptable ordinaire, n’a jamais été du genre à rêver d’utopie. Pourtant, une expérience méditative bouleverse sa perception de la réalité et le propulse dans un univers où l’humanité a appris à vivre en harmonie avec elle-même et son environnement. Là-bas, plus d’argent, plus de compétition acharnée : seulement une quête commune de bonheur, de respect et de simplicité.
De retour dans son monde, William décide de partager cette vision et de poser les bases d’une nouvelle humanité. Mais les résistances sont nombreuses, et ses propres doutes viennent troubler son chemin. Comment construire un pont entre deux réalités ? Jusqu’où ira-t-il pour convaincre, guider, et allumer l’étincelle d’un avenir possible ?
À travers un voyage entre les ombres de nos sociétés modernes et la lumière d’un futur à réinventer, ce roman est une invitation à reconsidérer nos choix, à embrasser le changement, et à imaginer une nouvelle place pour l’humanité.
Ce roman
est en cours d’écriture. Les chapitres sont proposés ici au fur et à mesure de leur finalisation beta 3.
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Prix de la nouvelle 2025
Prisma Media / BoD
Jury présidé par Philippe Delerm
Quelle émotion d’apprendre que Les Gardiens du silence a remporté le Prix de la Nouvelle 2025, organisé par Prisma Media et BoD.
Un immense merci au jury, présidé par Philippe Delerm, pour cette reconnaissance.
Grave content.
Les Gardiens du silence
Image générée par IA.
14 juillet 2025 / Fictions
Dans un monde où la parole humaine est interdite, un adolescent ose prononcer un mot. Ce simple souffle bouleverse l’ordre établi, réveille les anciens interdits et ouvre la voie à une quête fragile : celle d’une parole juste.
Image générée par IA.
Derniers
fragments
L’effondrement inéluctable du mental occidental
Le chaos qui nous entoure n’est pas une fin, mais une mue. Une chance, même, de réapprendre à sentir, à vibrer, à choisir autrement. Selon Philippe Guillemant, c’est notre vision mentale du monde qui s’effondre, pas l’humanité.
Trois heures par jour
Et si la vraie révolution tenait en une simple réduction du temps de travail ? Trois heures par jour, pas plus. Une idée d’apparence folle, pourtant étrangement sensée. Inspiré par le roman Paresse pour tous, ce texte explore les ressorts d’une société du temps retrouvé et les pistes concrètes d’une telle transition.
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Dans un monde où l’imaginaire se rétrécit, le rêve devient un acte de désobéissance douce, une manière de réinventer le possible. Rêver, c’est refuser l’évidence. C’est ouvrir la brèche.