Nous vivons dans une société où l’opposition est devenue un réflexe. Et si, au lieu d’être contre, nous apprenions à orienter notre énergie vers ce que nous voulons vraiment voir grandir ?
Perspectives
Réflexions personnelles, intuitions philosophiques, colères calmes.
Un espace pour poser des questions essentielles sur le monde actuel et ouvrir des brèches vers d’autres façons de penser, de vivre, de ressentir.
Dialogue avec Diderot
Et si Diderot pouvait examiner La Nouvelle Humanité ? Ce dialogue fictif explore, entre deux siècles, la liberté, l’éducation, le doute et la cohésion d’un monde sans argent.
Se connecter à son âme : le chemin du déconditionnement
Un avis personnel sur la connexion à l’âme. Dépasser le mental, l’émotionnel et l’ego ouvre un passage vers une joie simple et profonde.
L’effondrement inéluctable du mental occidental
Le chaos qui nous entoure n’est pas une fin, mais une mue. Une chance, même, de réapprendre à sentir, à vibrer, à choisir autrement. Selon Philippe Guillemant, c’est notre vision mentale du monde qui s’effondre, pas l’humanité.
Ce que je fuyais, ce que je cherche
Pourquoi écrire une nouvelle aussi noire que Get a life ? Parce que parfois, il faut traverser l’illusion pour comprendre ce qu’on cherche vraiment. Une postface intime et lucide sur la quête de sens, de lien, et de changement véritable.
Au commencement, il y avait le clan
Une organisation sociale fondée sur des clans autonomes, enracinés localement, où chaque voix compte, les minorités trouvent leur place et la coopération remplace l’imposition.
Un village de cent âmes
Cette réflexion explore un modèle social fondé sur un village de cent personnes, sans chef, sans monnaie, où chaque rôle est incarné avec fluidité et où l’échange repose sur la confiance et la circulation du vivant.
Ne plus croire à l’argent
J’ai grandi avec l’idée que l’argent était neutre. Mais à force de créer, d’échanger, de chercher du sens, j’ai décroché. Ce texte raconte ce désaccord profond : pourquoi je ne crois plus à l’argent — et ce que cela ouvre.
Pourquoi rêver est un acte politique
Dans un monde où l’imaginaire se rétrécit, le rêve devient un acte de désobéissance douce, une manière de réinventer le possible. Rêver, c’est refuser l’évidence. C’est ouvrir la brèche.








